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Journée mondiale de la Terre : notre pouvoir, notre planète

Date 22-04-2025 06:48:00 | Sujet : Tendances & Actus

Nous sommes le mardi 22 avril, et c’est la Journée internationale de la Terre nourricière, aussi appelée « Journée mondiale de la Terre », plus connue sous le nom d’Earth Day, un anniversaire marquant 55 ans de mobilisation pour l’environnement. Avec le thème « NOTRE POUVOIR, NOTRE PLANÈTE », cette édition 2025 met en lumière la transition écologique, en visant à tripler la production d’électricité propre d’ici 2030 pour lutter contre le réchauffement climatique. Face à la crise climatique et aux enjeux climatiques qui menacent notre planète, cet événement appelle à une sensibilisation collective, de la protection des plantes à la réduction des gaz à effet de serre. Pour terminer le petit tour du BeMac de ce second jour de la semaine, nous fêtons aussi les Alexandre.

Earth Day : une journée née d’un élan citoyen


Tout a commencé en 1970, aux États-Unis, quand 22 millions de personnes se sont mobilisées pour la première Journée de la Terre. À l’époque, l’idée était simple mais puissante : alerter sur les dégâts causés à l’environnement, des pollutions industrielles aux pesticides. Ce mouvement, porté par le sénateur Gaylord Nelson, a marqué un tournant. « C’était comme un cri du cœur collectif, une façon de dire : il faut agir maintenant », pourrait-on imaginer en repensant à ces débuts. Cette initiative a poussé les autorités à créer des lois pour protéger l’air, l’eau et les espèces menacées. Depuis, chaque 22 avril, le monde entier se joint à cette dynamique. En 2025, 55 ans plus tard, l’urgence est toujours là, mais les enjeux ont pris une ampleur nouvelle avec la crise climatique.


Notre pouvoir, notre planète : un thème qui donne le ton


Cette année, le slogan « NOTRE POUVOIR, NOTRE PLANÈTE » résonne comme un appel à l’action. Selon EarthDay.org, il s’agit de pousser pour tripler la production d’électricité issue des énergies renouvelables d’ici 2030. Pourquoi cet objectif ? Parce que les énergies fossiles, comme le charbon ou le pétrole, sont responsables d’une grosse part des gaz à effet de serre qui réchauffent la planète. Passer au solaire, à l’éolien ou à l’hydroélectricité, c’est une façon de limiter les dégâts. « On ne peut plus se permettre d’attendre, chaque degré compte », rappellent les scientifiques. Ce thème, c’est aussi une invitation à repenser notre pouvoir, individuel et collectif, pour faire pencher la balance du bon côté. Mais concrètement, cela veut dire quoi ?

Notre planète est sous pression


On ne va pas se mentir, la situation n’est pas rose. Les rapports s’accumulent : montée des températures, fonte des glaciers, vagues de chaleur, tempêtes plus violentes. Le réchauffement climatique, ce n’est plus une vague menace, c’est là, sous nos yeux. Selon l’ONU, les activités humaines ont déjà fait grimper la température mondiale d’environ 1,1 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Si on ne change rien, on file vers un monde à +3 °C, voire plus. « Cela peut sembler abstrait, ces chiffres, mais ça veut dire des récoltes qui s’effondrent, des villes inondées, des espèces qui disparaissent », explique un climatologue dans un récent rapport. La Journée de la Terre, c’est un moment pour prendre conscience de tout cela, sans paniquer, mais en se disant qu’on peut encore agir.

Les énergies renouvelables, un levier majeur


Alors, comment on s’en sort ? Le thème de 2025 met le doigt sur une solution clé : les énergies propres. Tripler leur production, cela passe par des investissements massifs, des politiques volontaristes, mais aussi par des gestes à notre échelle. Installer des panneaux solaires, soutenir des projets éoliens, ou même choisir un fournisseur d’électricité verte, cela compte. « Chaque kilowattheure propre, c’est un peu moins de CO2 dans l’atmosphère », souligne EarthDay.org. Mais il y a un hic : les énergies renouvelables ne représentent encore qu’une petite part de l’énergie mondiale. Accélérer la transition, cela veut dire convaincre les gouvernements, les entreprises, et parfois nos voisins, que c’est la voie à suivre. Pas simple, mais pas impossible non plus.

Chacun peut faire sa part


La Journée de la Terre, ce n’est pas juste pour les experts ou les militants. C’est pour tout le monde. Vous, moi, le collègue qui prend son café en scrollant sur son téléphone. On peut tous faire un truc, même petit. Planter un arbre, réduire ses déchets, manger moins de viande, ou juste parler de ces sujets autour de soi. « L’important, c’est de commencer quelque part », disent les organisateurs de la Journée. Et puis, il y a les actions collectives : participer à une clean-up locale, signer une pétition, ou rejoindre une asso. En 2025, des millions de personnes vont se mobiliser, des écoles aux entreprises. Par exemple, des villes organiseront des ateliers pour apprendre à composter ou à réparer ses vêtements. Tout cela peut sembler dérisoire face à l’ampleur du problème, mais ces gestes s’additionnent.


Une histoire qui continue 55 ans plus tard


55 ans après la première Journée de la Terre, on pourrait se demander si ça sert encore à quelque chose. Après tout, les problèmes sont toujours là, et parfois, on a l’impression que tout empire. Mais ce serait oublier tout ce qui a changé grâce à cet élan. Des lois pour protéger l’environnement, des technologies plus vertes, une prise de conscience mondiale. « On n’est pas parfaits, loin de là, mais on avance », pourrait-on résumer. La Journée de la Terre, c’est un rappel qu’on n’est pas seuls dans ce combat. Des milliards de personnes, partout, veulent un avenir où la planète respire mieux. En 2025, avec ce focus sur les énergies renouvelables, c’est une nouvelle page qui s’écrit, et on a tous un rôle à jouer.

Petits gestes, grand impact pour notre planète


Quand on pense au réchauffement climatique, aux sécheresses qui frappent ou à la faim qui touche tant de régions, on peut se dire : « À quoi bon, moi tout seul, je ne vais rien changer. » C’est vrai que, tout seul, c’est compliqué de renverser la vapeur. Mais ensemble, en additionnant nos efforts, que ce soit dans notre coin ou à l’autre bout du monde, on peut vraiment faire avancer les choses. Chaque geste, même s’il a l’air d’une goutte d’eau dans l’océan, compte.

Comme disent ceux qui se battent pour l’environnement : « Si tout le monde s’y met, cela fait une sacrée différence. » Prenez l’énergie, par exemple. Éteindre les lumières qu’on n’utilise pas, passer aux ampoules qui consomment moins ou éviter de pousser la clim à fond, c’est à la portée de tous. Si on a le choix, opter pour de l’électricité verte, c’est encore mieux. Pour l’eau, pareil : fermer le robinet pendant qu’on se brosse les dents ou réparer ce maudit goutte-à-goutte dans la cuisine, ça ne change pas nos vies, mais ça soulage la planète.

Changer ses habitudes, un pas vers un monde plus vert


Il n’y a pas que l’eau ou l’électricité, on peut faire plein d’autres trucs pour réduire notre empreinte écologique. Par exemple, laisser la voiture au garage pour prendre son vélo ou marcher, cela fait du bien à la planète, à notre porte-monnaie et même à notre forme. Si on bosse loin, le covoiturage avec les collègues ou les transports en commun, c’est une super option. Côté déchets, on peut arrêter d’acheter des bouteilles en plastique et prendre une gourde qu’on réutilise.

Pareil pour les sacs ou les gobelets jetables : un tote bag ou une tasse perso, c’est vite adopté. Recycler, c’est aussi un réflexe à avoir – le verre, le carton, le plastique, tout ce qu’on peut. Pourquoi pas se lancer un défi avec des potes pour produire moins de déchets ? Manger un peu moins de viande, en testant une recette veggie de temps en temps, pour réduire aussi notre impact carbone. Et puis, planter un arbre dans son jardin ou parler de tout ça autour de soi, c’est une façon de passer le mot. Chaque effort, même tout petit, aide à protéger notre environnement et à construire un avenir où la Terre va mieux.


Et demain, on fait quoi ?


Le 22 avril passera, mais les enjeux, eux, restent. La Journée de la Terre, c’est un coup de projecteur, mais l’engagement, c’est toute l’année. Tripler la production d’électricité propre d’ici 2030, ne se fera pas tout seul. Il faudra des politiques courageuses, des entreprises qui jouent le jeu, et des citoyens qui ne lâchent pas. « Si on veut laisser une planète vivable à nos enfants, c’est maintenant qu’on agit », insiste l’ONU. Alors, ce 22 avril, prenons un moment pour réfléchir, pour apprendre, pour agir. Que ce soit en éteignant une lumière inutile, en partageant un article comme celui-ci, ou en rêvant d’un monde plus vert, chaque pas compte. Parce que, comme le dit le thème de cette année, c’est « NOTRE POUVOIR, NOTRE PLANÈTE ».

( Temps de lecture : 9 minutes | L’illustration de notre article provient de Schropferoval sur le site Internet Pixabay. Si l’image vous intéresse, vous pouvez faire un don sur le site avant de la télécharger )



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