Le tribunal a suivi à la lettre les réquisitions du parquet, soit 300 euros d'amende dont 150 avec sursis, malgré que sa femme ait reconnu officiellement avoir été l’instigatrice des téléchargements.
Alain Prévot a expliqué ne pas vouloir faire appel de cette décision, mais depuis jeudi il se retrouve donc avec un casier judiciaire ou figure la condamnation.
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Toute la question est de savoir combien aura coûté au total toute la procédure, de la surveillance, aux mails d’avertissement, à la lettre recommandée avant de se retrouver au tribunal. Plus que 150 euros sans aucun doute.
Par contre, on est bien loin des sommes pharaoniques demandés aux États-Unis où une internaute a été condamnée à 222 000 dollars pour avoir téléchargé et partagé 24 titres musicaux sur les réseaux P2P. Il faut dire que là-bas, l'industrie du disque est représentée par la toute puissante RIAA ( Recording Industry Association of America ).