D’une façon générale, pour 85% des substances qui ont pu faire l’objet d’une évaluation, le risque peut être écarté pour la population générale, mais pour certains groupes de populations, le risque de dépassement des substances chimiques nocives pour l’organisme pour une douzaine de substances peut être accrue comme pour le plomb, le cadmium, l’arsenic inorganique ou encore l’acrylamide, un risque associé au mode de consommation d’un aliment ou groupe d’aliments donné et l’Anse recommande, pour écarter tout risque de dépassement, une alimentation diversifiée et équilibrée en variant les aliments et la quantité consommée.
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De plus, le rapport met en évidence la nécessité de développer les connaissances scientifiques aussi bien d’ordre toxicologique qu’analytique pour un ensemble de substances non réglementées à ce jour, mais présentes dans l’alimentation.
Le lien pour accéder au site de l’Anses et y visualiser l’étude nationale de surveillance des expositions alimentaires aux substances chimiques (fichier PDF) :
Etude nationale de surveillance des expositions alimentaires aux substances chimiques
(Illustration logo du site Anse)